24 février 2011
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une lente agonie, une valse avec la nuit. au bord des deux heures, je me sens ivre et ma nuque s'amollit. ma tête bientôt heurte le sol avec le bruit d'une balle qui percuterait un manteau de fourure. le carrelage froid se rechauffe de mon sang. et mon sang de devenir glacé. et moi de mourir. et le monde de l'ignorer.
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